22 juillet 2008
route Courbet
Dès le début du XIX ème, le courant réaliste pousse les voyageurs à courir les campagnes, à la recherche de ruines et de scènes bucoliques. Tels Gustave Courbet, équipé d’un superbe sac-à-dos lors de ses excursions dans les garrigues ou sur le littoral à Palavas, les artistes emmènent chevalet, huiles et pinceaux sur le terrain, pour saisir la lumière et la réalité des paysages. Les collines et les roches de l’arrière-plan ne sont plus imaginées et restituées à l’atelier, mais observées et reproduites – à la manière du naturaliste.
Etape de Mireval et Vic la Gardiole.
"La rencontre ou bonjour M. Courbet"
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